La compassion et la résilience sont les caractéristiques d’un bon agent des services aux victimes (ASV). Le Service correctionnel du Canada (SCC) en compte 36 dans tout le pays – des employés qui parlent quotidiennement aux victimes et aux survivants d’actes criminels.
Le 20 janvier 2022, Tam Le, un délinquant à sécurité minimale à l’Établissement de Stony Mountain, a participé à un symposium virtuel de Walls to Bridges. Cependant, Tam ne participait pas au symposium sur Zoom qu’à titre d’observateur seulement. C’était l’un des présentateurs qui a discuté d’une étude qu’il avait coécrite avec la professeure d’université Mme Judith Harris.
Le Service correctionnel du Canada (SCC) compte plus de 4 000 bénévoles qui travaillent directement avec les délinquants pour favoriser leur réhabilitation et leur réinsertion sociale. Le bénévolat au SCC a des racines historiques profondes qui remontent à la fin des années 1800. Les bénévoles en milieu correctionnel peuvent offrir une interaction émotionnelle et humaniste qui complète les interactions avec le personnel. Ils établissent un lien entre les délinquants et le monde extérieur et donnent l’exemple d’un comportement prosocial.
Alors que nous célébrons le Mois de l’histoire des Noirs, Entre Nous Express a voulu prendre des nouvelles de Maxime-Kalifa Sanou, quatre ans après le reportage sur ses exploits sportifs et sa discipline exemplaire.
Si Heather Finn n’avait qu’un seul conseil à donner au personnel travaillant avec des délinquants ethnoculturels, ce serait d’écouter.
Ensemble, l’équipe des Initiatives pour Autochtones de la région de l’Atlantique, CORCAN, le Comité consultatif de citoyens (CCC) et des partenaires communautaires ont élaborer un programme de réparation et de remise en état de vélos qui aidera à soutenir et à remonter les individus marginalisés à St. John’s, Terre-Neuve-et-Labrador (T.-N.-L.).
Le Service correctionnel du Canada (SCC) compte près de 4 000 bénévoles, dont 300 membres dévoués des comités consultatifs de citoyens (CCC) du SCC. Le SCC est tenu par la loi d’avoir un CCC dans chaque établissement et bureau de libération conditionnelle du pays, qui sont « les yeux et les oreilles » de leur collectivité. Ce partenariat donne au SCC l’occasion de sensibiliser la collectivité à son mandat et d’établir un climat de confiance et de responsabilité avec le public qu’il dessert.